L'Astronome de Johannes Vermeer, vers 1668, Musée de Louvre, Paris.
Ce scientifique est-il astronome ou astrologue? Vu le sens de la question, il n'y a qu'une solution, et pourtant! Vermeer aime bien jouer sur les mots (voilà que je raconte n'importe quoi!), la preuve, c'est un mec répétitif. Oh, je ne me prends pas pour un quelconque connaisseur de l'art, les spécialistes m'insulteraient, ils m'insultent même déjà, mais ce n'est pas la question. Car qu'est ce que le rôle de notre vie? Les souffrances endurées pour une lutte, Ou la recherche d'une chose et c'est fini! Ouh, si je replace mes propres citations, où l'on va? Ben, justement dans le chemin que Vermeer nous a tracé...
Justement, Vermeer ne se pose pas cette question, elle n'a aucun sens. Même si à l'époque, les choses commençaient à se différencier, on confondait, et peut-être est-ce une erreur, mais je ne juge pas, les deux fonctions. Et ici, même si c'est la même fenêtre que dans toutes ses plus grandes oeuvres, ses plus connues, ses plus contrastées, ses plus j'en passe et des meilleures, l'astronome cherche l'inspiration, donc un astrologue. Il veut organiser un colloque pour la réunion des chercheurs d'illusions dans l'espace sombre et froid qui s'offre à nous.
Et même si vous me dîtes que ce voyage ne se fait pas sans étoiles dans les yeux, je vous dis qu'elles ne réussissent pas à illuminer une vie, la preuve avec la perte de vitesse de la NASA. Et c'est là pourtant, qu'il faudra se réfugier. Alors cet astrologue ou astronome, enfin quoi, un homme, un mortel cherche à trouver une lueur d'espoir, et ce n'est pas par hasard qu'il se tourne vers ce globe, on le verra de plus en plus petitement! Comme quoi, l'art n'est pas une mince affaire, on peut lancer de la peinture avec des brosses à dent, cela ne changera rien à l'acte, comme la poésie, ce n'est que de penser qu'il s'agit!
Et la prochaine fois, si on parlait du vrai art?
samedi 23 janvier 2010
dimanche 10 janvier 2010
Comment connaître les secrets de notre corps?
La leçon d'anatomie du docteur Tulp, Rembrandt en 1632 exposé au Mauritshuis à La Haye
Comment connaître les secrets de notre corps? C'est une question que l'on peut se poser. Et Rembrandt, comme de nombreux scientifiques avaient trouvé la solution: autopsier, et non pas disséquer, cela est mal poli, il s'agit d'un humain, certes, un criminel, mais d'un homme. Oh, on ne l'a pas toujours autorisé, d'ailleurs qu'une seule de ces petites fêtes était autorisée par an. Mais bon, de là à en faire un tableau! Bon, dîtes-vous que Rembrandt est le paparazzi de l'époque, car en effet, la photographie n'existait pas encore!
Mais là où l'on touche au génie, c'est bien dans la composition. Certes, l'on peut remarquer sans doute un défaut de musculature par ci, par là, mais ce n'est rien comparé à la magie du clair-obscur, un truc bien à Rembrandt qu'aucun paparazzi anonyme ne peut reproduire. Il faut du génie pour représenter une autopsie comme celle-ci! L'ambiance est pesante, et non pas seulement scientifique, c'est quelque chose d'important que nous l'on montre et l'on fascine pour cette leçon un peu particulière. Et même aujourd'hui, ces leçons sont cachées
Alors, on ne peut s'empêcher de penser au devin qu'est Rembrandt, ou je veux plutôt dire à la parodie de ce tableau d'Uderzo. Ah, la scène est sinistre. On n'aura jamais vu un poisson aussi abject que celui-là, n'en déplaise à Ordralfabétix. Et c'est comme cela que l'art entre dans l'imagination collective. Je ne sais pas si quelqu'un découvrira ce tableau pour la première fois, mais une chose est sûre, il ne l'oubliera pas
Et la prochaine fois, si on parlait du vrai art?
Comment connaître les secrets de notre corps? C'est une question que l'on peut se poser. Et Rembrandt, comme de nombreux scientifiques avaient trouvé la solution: autopsier, et non pas disséquer, cela est mal poli, il s'agit d'un humain, certes, un criminel, mais d'un homme. Oh, on ne l'a pas toujours autorisé, d'ailleurs qu'une seule de ces petites fêtes était autorisée par an. Mais bon, de là à en faire un tableau! Bon, dîtes-vous que Rembrandt est le paparazzi de l'époque, car en effet, la photographie n'existait pas encore!
Mais là où l'on touche au génie, c'est bien dans la composition. Certes, l'on peut remarquer sans doute un défaut de musculature par ci, par là, mais ce n'est rien comparé à la magie du clair-obscur, un truc bien à Rembrandt qu'aucun paparazzi anonyme ne peut reproduire. Il faut du génie pour représenter une autopsie comme celle-ci! L'ambiance est pesante, et non pas seulement scientifique, c'est quelque chose d'important que nous l'on montre et l'on fascine pour cette leçon un peu particulière. Et même aujourd'hui, ces leçons sont cachées
Alors, on ne peut s'empêcher de penser au devin qu'est Rembrandt, ou je veux plutôt dire à la parodie de ce tableau d'Uderzo. Ah, la scène est sinistre. On n'aura jamais vu un poisson aussi abject que celui-là, n'en déplaise à Ordralfabétix. Et c'est comme cela que l'art entre dans l'imagination collective. Je ne sais pas si quelqu'un découvrira ce tableau pour la première fois, mais une chose est sûre, il ne l'oubliera pas
Et la prochaine fois, si on parlait du vrai art?
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